Accueil
page
pathologies blocage drainage lymphatique
immobilisation permanente
traumatismes répétés
kystes
autres effets
parturbateurs endocriniens
augmentation chaleur du sein
hypoxie tissulaire
étude contradictoire
pathologies blocage drainage lymphatique
page
Faux besoin
dress to kill
dress to kill



norme sociale
tyranny of the bra

    Le soutien-gorge: Un traumatisme chronique, direct, répétitif, et incidence de cicatrices radiales.


       Dans l'étude médicale réalisée par le Département de Santé Publique de l'hôpital universitaire de Carobobo publiée en 2011, on apprend que 72% des femmes qui dorment avec un soutien gorge présentent des lésions.

       Parmi les femmes qui portent un soutien-gorge en journée, il ressort que 78,57% des femmes agées de moins de 32 ans présentent des lésions mammaires !       Lien ici


       Une autre étude en Ecosse réalisée par des chercheurs de l'Hôpital général de Western à Edinburg ont constaté chez les femmes « des traumatismes répétés ».

       Ils déclarent: « L'utilisation constante de soutien-gorge (en particulier les élastiques qui resserrent le tissu mammaire et lymphatique principalement dans les quadrants externes par la nature même de sa conception) pendant de longues périodes peut influencer le flux lymphatique du sein ».

« Cela pourrait être un cofacteur avec d'autres facteurs qui traumatisent les tissus dans le cadran du sein où le soutien a le plus de pression ».

       Cette étude déclare également que « les canaux sudoripares bloqués et des lésions cutanées causées par les anti-transpirants et le rasage peut conduire à des conduits bloqués dans la poitrine et la formation de kystes, qui ont été liés à un risque accru de développement de cancer ».    Lien ici

       Rudolf Virchow est le fondateur de la pathologie moderne, la science qui étudie les rapports entre la maladie et les événements qui affectent les tissus.

       Grand médecin allemand, en 1863, il avait observé que plusieurs patients semblaient avoir développé un cancer à l’endroit précis où ils avaient reçu un coup, ou bien là où une chaussure, un outil de travail, frottait de façon répétée.


  

       Au microscope, il avait remarqué la présence de nombreuses cellules blanches au sein des tumeurs cancéreuses. Il avait alors émis l’hypothèse que le cancer était une tentative de réparation d’une blessure qui avait mal tourné.

       On peut trouver cette citation dans le livre de David Servan Schreiber : "Anti-Cancer : Les gestes quotidiens pour la santé du corps et de l’esprit"

       Des chercheurs américains ont identifié une minuscule lésion des tissus mammaires, qui semble doubler le risque de cancer du sein, rapporte la revue New England Journal of Medicine.

       En suivant sur une période de douze ans un groupe de 1 396 femmes ayant subi l’examen d’un échantillon de tissu mammaire, les médecins du Brigham and Women’s Hospital de Boston (Massachusetts) ont constaté que celles qui présentaient cette lésion, appelée cicatrice radiale, avaient 1,8 fois plus de risques de développer un cancer ultérieurement.

       D'autres études mettent également l’accent sur le traumatisme direct, répétitif et chronique du soutien-gorge, en appuyant sur tous les quadrants du sein, et qui peut conduire à la maladie à travers les cicatrices radiales.

       Ces cicatrices radiales correspondent à une hyperplasie proliférative qui est associée à un risque élevé du cancer du sein.

       Cette association se retrouve dans de nombreuses études médicales sur les caractéristiques pathologiques et l’incidence des cicatrices radiales dans la poitrine.    Exemple ici